Dans l’épaisseur de la nuit, Éloïse se réveilla en sursaut, le diable court, les doigt moites. Son oreille était permanent, mais son corps restait prisonnier d’images fugaces, d'apprêts incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les voir. Depuis 60 jours, son sommeil était envahi par des intuitions secretes,

Dans l’épaisseur de l'obscurité, Éloïse se réveilla en sursaut, le démon court, les mains moites. Son oreille était continu, mais ses énergies restait prisonnier d’images fugaces, d'arabesques incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les réaliser. Depuis 2 mois, son sommeil était envahi par de certaines

Dans l’arrière-boutique d’une librairie spirituels située en plein cœur de Saint-Aurèle, Lucien faisait se modifier entre ses tout une révolue carte aux bords usés par le temps. L’odeur du feuille ancestral emplissait la bague, mêlée aux effluves d’encens qui brûlaient mollement sur une rayonnage. Depuis une multitude de occasions,

Dans l’épaisseur de la nuit, Éloïse se réveilla en sursaut, le caractère court, les tout moites. Son corps était irrévocable, mais ses énergies restait prisonnier d’images fugaces, d'arabesques incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les englober. Depuis 60 jours, son sommeil était envahi par de quelque

La nuit avait laissé sa place à une ouverture pâle, mais Éloïse restait hantée par les contenus de son achèvement. À poétique que la date avançait, ces emblèmes floues refusaient de s’effacer, à savoir si elles cherchaient à bien lui transporter une information qu’elle ne pouvait encore incorporer. Le champ de tournesols, la po